BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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dimanche 31 janvier 2016

DROIT DE RÉPONSE DES RURAUX AUX "SCIENTIFIQUES"



"La France ne protège pas sa nature"  selon Farid Benhammou géographe, membre du Laboratoire" ruralités de l’université de Poitiers" ; Estienne Rodary chercheur à l’IRD et spécialiste des politiques de conservation dans REPORTERRE du 26/01/2016
http://www.reporterre.net/La-France-ne-protege-pas-sa-nature


« Entre guillemets et en italique » les phrases clefs de la démonstration faite par nos deux « scientifiques » Benhammou/Rodary .

Benhammou/Rodary : « Les loups subissent régulièrement des attaques depuis leur réinstallation naturelle en France en 1992. »

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes domestiques
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes domestiques
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes domestiques
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes domestiques
2015 = 282 loups, 42 Zones de Présence Permanente (ZPP) contre 39 en 2014. 2440 constats, contre 2344 en 2014,


Benhammou/Rodary : « 
Déjà, il y a trois ans, quand la population de loup s’est renforcée dans le Massif central, le Parc national des Cévennes s’était déclaré contre la présence du prédateur sur son territoire et avait demandé ces tirs. »


Extrait de la charte des parcs Nationaux signée avec les propriétaires qui mettent à disposition leurs terres:
« Le pastoralisme contribue à la structuration écologique et paysagère des territoires, à la constitution du patrimoine naturel et culturel des parcs nationaux et à sa gestion. Ainsi, les paysages d’alpages et d’estives offrent une biodiversité et un caractère remarquable, résultat des interactions complexes et dynamiques entre activités pastorales et milieux naturels, que les parcs visent à préserver. »  


Benhammou/Rodary : « Les loups reviennent en France parce que la pratique pastorale – comme beaucoup d’autres pratiques qui façonnaient historiquement les paysages français – est déjà marginalisée. Mais pourquoi s’en prendre aux loups plutôt qu’aux facteurs qui transforment ces paysages ? »

Les seules régions où le pastoralisme arrive à tirer son épingle du jeu, en proposant des agneaux de qualité labellisés grâce à un cahier des charges exigeant l'élevage traditionnel sur parcours libres,  sont celles ou les promoteurs du loup sont sans ambiguïté :
"Dans les zones ou évolueront les grands prédateurs (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que le pastoralisme ne perturbe pas les carnivores. /…/ »  (Systèmes européens de subventions à l’élevage, et propositions de réformes favorables à la conservation des grands carnivores. UICN, WWF, LCIE 1997)


Benhammou/Rodary : « 
Car la France n’est plus (si jamais elle a été) cet Éden champêtre loué par nos élites scientifiques, industrielles et politiques. C’est un espace qui subit de plein fouet les conséquences dévastatrices d’un trinôme concentration/uniformisation/pollution : une politique européenne qui favorise les grands exploitants, une concentration de l’industrie agroalimentaire qui contrôle les semences et incite à la création de « fermes aux mille vaches », une utilisation de pesticides et d’engrais qui continue à polluer lourdement les paysages et les cours d’eau et dont des études confirment l’impact sur les oiseaux, les insectes et les agriculteurs. »


Donc la réintroduction des loups dans les zones d'élevage devient une priorité pour les écologistes. Une priorité dont la finalité est une condamnation pour les petites structures familiales qui n'utilisent ni engrais, ni pesticides... Des exploitations qui ne pourront jamais protéger leurs troupeaux et garder un mode d'élevage moderne et respectueux qu'elles ont mis en place pour s'adapter à la demande et au bien être  des animaux, de ceux qui en ont la charge et de la Nature.
photo prise par le berger pendant la garde du troupeau. image concrète de "l'éden champêtre" 
Extrait du rapport du P.N.U.E. :" le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considérée comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte /…./"
  "le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres / …/ préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol, et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu'il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur."


Benhammou/Rodary : « ...Le rôle renforcé des collectivités locales dans les conseils d’administration a ajouté de nouvelles pressions sur les parcs : en Vanoise, aucune commune n’a accepté d’intégrer les « zones d’adhésion » censées compléter la « zone cœur » du parc. »

 Des parcs qui se conduisent en propriétaires dictateurs des espaces qui leur sont confiés par leurs possesseurs après en avoir accepté la charte.

Prenons la Vanoise puisque vous en parlez. Voici ce qui a été rétorqué au responsable du Trailers des pays de Savoie : "« Je trouverai bien une espèce protégée pour vous empêcher d'y aller ».
Sans parler du reproche fait aux photographes : "Vous nous reprochez aussi la prise de vue photographique à but lucratif en cœur du Parc. Nos prises de vues sont aussi à but promotionnel et en effet, le travail d'un photographe se paye."

Et que dire du par du Mercantour qui assigne un boulanger parce qu'il appelle ses biscuits « sablés du Mercantour »
Qui verbalise dans la commune de Saint-Dalmas le Selvage, les organisateurs d’une messe en plein air sur le plateau de Sestrière au motif que celle-ci se déroulait sans autorisation.

Les parcs, et surtout Parcs nationaux de France (PNF) jusqu'à présent, demain l'Agence française de la biodiversité (AFB), ont déposé la marque des parcs pour tout faire payer : photos des paysages (droit à l'image), création d'une marque pour chaque parc couvrant les productions (miel, vin etc...). 
De quoi justifier le rejet des populations locales qui se rendent compte, mais un peu tard, de la supercherie et de la finalité de la protection de leur nature.


Benhammou/Rodary : « Nos sauveurs de bergers ont raison de crier au loup : ils confirment par l’absurde que les Français sont majoritairement occupés à détruire et polluer l’espace dans lequel ils vivent et que la conservation de la biodiversité est fondamentalement vue comme une anomalie étrangère. »

Mais pourquoi s'acharner à vouloir protéger des zones qui sont les plus riches en biodiversité au détriment de ceux qui en sont les gardiens depuis des millénaires et au détriment des régions qui sont saccagées?
Dans le monde, plus de 20 millions de personnes ont été délocalisées des territoires les mieux préservés sous prétexte de biodiversité.



Benhammou/Rodary : « Dans ce contexte, si l’intelligentsia environnementale de gauche s’allie avec l’agroalimentaire pour nous faire croire que les problèmes des campagnes françaises viennent des loups, alors la biodiversité – et nous avec – avons du souci à nous faire. »

N'y a-t-il pas d'autres priorités, d'autre zones à réhabiliter, à protéger ? N'y a t'il pas justement, hors des zones pastorales beaucoup d'espèces autrement plus menacées que le loup ? S’agirait il pour les protecteurs de la nature de se faire une place au soleil avec un animal prestigieux et pourvoyeur de fonds inépuisables (7,15 million d'euros  pour l'étude de Wolf Alp1, 32 millions alloués aux prédateurs par le feeder en PACA). Le loup étant une autre filière d'avenir et d'emplois sans doute....



Venez chez nous, nous partagerons cette biodiversité qui s'est fort bien passée du loup pendant plus d'un siècle et qui devient tout à coup un eldorado pour beaucoup trop d'évangélistes.
Loup, la face cachée de ses défenseurs.




Nous avons bien noté que les scientifiques qui ne vont pas dans votre sens, vous les mettez entre guillemets (« groupe de scientifiques »), mais le lecteur pourra se faire sa propre opinion en lisant :
VARIATION DE LA VÉGÉTATION PASTORALE DANS LE PIÉMONT CONSÉCUTIVE AU CHANGEMENT DE GESTION DU TROUPEAU DÛ À LA PRÉDATION DU LOUP.
Battaglini L.M.(1), Martinasso B.(3), Corti M.(2), Verona M.(3),Renna M.(1) (1) Département Sciences Agronomiques, Forestières et Alimentaires - Université de Turin (2) Département Sciences Aliments, Nutrition et Environnement - Université de Milan (3) Docteur en Foresterie et Environnement - Profession libérale ;
Dix alpages des étages subalpins et alpins ont été analysés : (en Italie ou la cohabitation selon les défenseurs du loup est exemplaire ndlr)




EN CONCLUSION:
Vous trouverez ici la Réplique de trois chercheurs de l’Inra Ecodéveloppement    à l’article de Farid Benhammou, publié dans:
 "Le Courrier de l’environnement" N° 48, à la rubrique Problématiques et Débats :
« Les grands prédateurs contre l’environnement ? faux enjeux pastoraux et débat sur l’aménagement des territoires de montagne ».

  "Nous sommes dans l’obligation de répondre au Courrier car l’auteur (Farid benhammou) nous fait dire exactement le contraire de ce que nous avons écrit en tant que chercheurs appartenant à la même unité de recherche."  Christian Deverre Directeur Unité d'Écodéveloppement INRA Domaine Saint-Paul Site Agroparc 84914 AVIGNON Cedex 9


samedi 8 février 2014

LE CRI DES BERGERS !



Les associations de bergers de France
Liste signataires ci-dessous
Le 14 janvier 2013
Lettre ouverte
Madame, Monsieur,
Les lignes qui suivent émanent de la 3ème rencontre nationale du collectif des bergers et des associations de bergers.
Ce sont les paroles des bergers et d'eux seuls. Elles disent la détresse, l'incompréhension, la perte de confiance, l'absence de considération, les critiques injustifiées. Elles se veulent une sonnette d'alarme pour attirer l'attention sur un métier que certains commencent à déserter et pour témoigner que la montagne, par endroit, se dégrade. Mais plus que tout, elles demandent que soient reconnus et entendus à tous les niveaux, ceux qui, quotidiennement, côtoient les grands prédateurs.
Le collectif des bergers et associations de bergers rassemble tous les massifs (Jura, Vosges, Massif- Central, Alpes, Pyrénées.). Il réunit des bergers et vachers, qui dans la grande majorité, vivent 4 à 5 mois de l'année (juin-octobre) en haute-montagne, pour assurer le gardiennage permanent des troupeaux. Ce collectif centre son travail sur les thèmes primordiaux du métier de berger : conditions de travail, emploi, formation professionnelle, formation continue...
Depuis trois ans, ce collectif organise une rencontre nationale, après la descente des troupeaux. Temps fort qui permet de se retrouver pour échanger sur tout ce qui a trait au métier de berger. Après les Cévennes, les Alpes, c'était au tour des Pyrénées d'accueillir, le 10 novembre dernier, la rencontre 2012.
L'ours a toujours été présent dans les Pyrénées ; avec les premières réintroductions (1996), la population d'ours a été croissante et sur différents secteurs du massif. Dans le même temps, les Alpes ont vu revenir le loup, lequel depuis quelques temps se manifeste également dans les Pyrénées, Massif central et Vosges. Les bergers et vachers ont maintenant du recul et du vécu sur les mesures de protection préconisées et mises en place depuis l'arrivée et la réintroduction de ces grands prédateurs. Ce pas de temps permet d'avoir du recul sur les mesures de protection préconisées et mises en place lors de l'arrivée ou de la réintroduction de ces grands prédateurs.
Les bergers que nous sommes ont parfaitement conscience des moyens mis en œuvre pour minimiser les effets de la prédation (indemnisations des bêtes, aides au gardiennage,...).
Cependant, nous constatons qu'il y a, sur l'ensemble des massifs, une augmentation des prédateurs, une augmentation de la prédation et que les mesures de protection ne sont pas adaptées à la réalité du terrain.
En temps normal, être berger, c'est travailler seul, résoudre seul les difficultés. Mais dans un contexte de prédation récurrente, la pression, la peur pour soi, pour les bêtes, rend la situation limite, pour le mental comme pour le physique ; au point que certains ne veulent plus monter. Plus grave encore, des bergers expérimentés abandonnent leur métier.

Être berger, dans ce contexte, c'est : compter des cadavres tous les jours, découvrir et chercher des bêtes blessées, être obligé d'euthanasier des brebis pour abréger des souffrances, gérer les constats ; le tout dans le temps légal du travail, en plus du travail « normal ».
Garder en présence de loups ou/et d'ours, c'est (aussi) un surcroît de travail, une situation de stress, et surtout un sentiment d'échec et de culpabilité. « Nous n'arrivons plus à faire ce pourquoi nous sommes là et cela remet en cause notre propre utilité ». Ce sentiment est accentué par le regard et les critiques à notre encontre, y compris par ceux qui sont le plus à même de comprendre la situation, à savoir des éleveurs. Ces critiques se résument à : « "Si vous gardiez les brebis ça n'arriverait pas" ; autrement dit, si « tu as de la prédation, tu es un mauvais berger. » A cela s'ajoutent des propos diffamatoires inacceptables circulant via les réseaux internet.
Or, les bergers sont des professionnels. Ils connaissent leur travail et gèrent au mieux le troupeau en fonction de la montagne, de la météo...Pourtant, alors même qu'ils connaissent le mieux les différents quartiers de leur estive/alpage et qu'ils sont les seuls professionnels constamment présents sur les lieux, ils ne sont pas directement informés de la présence des prédateurs quand ceux-ci se trouvent sur leur secteur, alors que les administrations sont au courant. De même, ils sont laissés dans l'ignorance quant aux évolutions des zones à prédation.
Le rôle du berger est central pour la montagne, du fait de son travail d'observation du troupeau et de l'environnement dans lequel celui-ci évolue. Nous connaissons l'écosystème de montagne et nous y sommes sensibles. Le pastoralisme permet une biodiversité des espèces inféodées (faune et flore). Aussi, nous ne pouvons accepter que certains secteurs soient condamnés à l'abandon avec toutes les conséquences induites : fermeture des paysages et augmentation des risques naturels (feux, avalanches...). De la même façon, nous attirons l'attention sur le surpâturage et l'érosion de certains secteurs dû au piétinement excessif engendré par la nécessité de regrouper les bêtes. Ces pratiques dont on mesure les incidences négatives sur l'état des troupeaux (stress, état sanitaire, boiteries, avortements, niveau d’engraissement...) menacent aussi l'avenir des montagnes. Aussi, nous ne comprenons pas la sur-protection de certaines espèces face à d'autres espèces qui méritent tout autant notre attention.
Nous, bergers, que nous travaillions en zone à prédation ou non, nous nous sentons concernés par ce qui précède. Tous, nous aimons les bêtes. Tous, nous aimons la montagne.
Pour nous aujourd'hui, il ne s'agit en rien de demander une indemnisation de plus. Nous ne voulons pas d'argent. Ce que nous voulons c'est :
Être reconnus dans notre travail, comme les professionnels que nous sommes ;
Être écoutés comme acteur principal sur la montagne ;
Être informés et être présents dans les commissions, ceci dans tous les départements ;
Soutenir tous les bergers et éleveurs concernés par la prédation ;
Dans les secteurs concernés par l’ours, travailler à une gestion des populations de prédateurs qui s’attaquent à nos troupeaux. Dans les secteurs concernés pas les loups, travailler à une régulation intelligente et efficace des populations de prédateurs qui s’attaquent à nos troupeaux.
La mise en place des moyens par les services de l’État dès la 1ère attaque sans tracasserie administrative.
SIGNATAIRES :
Association des Pâtres de Haute Montagne Ariège Pyrénées Baptiste Miller Jardins Botaniques 09 000 Loubières 80 adhérents 150 bergers et vachers en réseau
Association des Bergers Salariés des Pyrénées Atlantiques Pyrénées Atlantiques Pyrénées Jérome Jouannet 64490 SARRANCE 15 adhérents 10 sympathisants
EHA Arrapitz Association des Bergers Sans Terre Secteur pays basque des Pyrénées Atlantiques
Pyrénées Pantxo Etcheverri 32 rue de la Bidouze 64120 Donapaleu / Sain-Palais 30 adhérents
Association des Bergères et Bergers des Alpes du Sud et Provence Hautes Alpes Alpes Maritimes
Alpes de Haute Provence Antoine Le Gal Roger Minard Le Plan 04110 Aubenas les Alpes
une quarantaine d’adhérents
Association des Bergers de l’Isère Isère Alpes Michel Didier 85 route de Pommaret 38450 Charancieu
une vingtaine d’adhérents
Association des Eleveurs et Bergers du Vercors – Drôme – Isère Département de l'Isère, Nord de la Drôme et Plateau du Vercors Michel Curt QuartierVoirazier 26100 Romans sur Isère 92 adhérents
Association Solidarité Pastorale Drôme et régions voisines Jean-Louis Fleury 26460 Les
Tonyls une soixantaine d’adhérents


Une autre lettre  de l'association des bergers et bergères de Provence et des Alpes du sud, a été publiée suite aux erreurs ( mensonges?)  paru dans l'article sur la réunion des associations, dans Reporterre "Le loup, ennemi ou nature ? Paroles de bergers"
L’Association des bergères et bergers de Provence et des Alpes du Sud dénonce l'article  de Daniel Bordur relatif à la Rencontre nationale des Associations de Bergers tenue du  1 er  au 3 novembre 2013 à Rochejean (Doubs), mis en ligne le 12 Novembre sur le site  www.reporterre.net Ce texte donne à la réunion des associations de bergers une orientation idéologique qui dénature nos débats En savoir plus