BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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samedi 13 avril 2013

LES ENFANTS N'IRONT PLUS FERMER LE POULAILLER LE SOIR!


La brebis Aïchat avait sept ans. Ses 60 kilos bien installés dans son enclos en compagnie des ânes Mamade et Friquette. La brebis coulait des jours heureux dans le jardin de la famille Renaudin situé au quartier des Casot, en surplomb de Sigoyer.

L’enclos où le loup a attaqué se trouve proche de l’habitation, ce qui inquiète cette famille.
Mais, dans la nuit de vendredi à samedi, la meute de loups qui occupe le massif de Céüze est descendue. La mascotte des quatre enfants, élevée au biberon, a fait leur délice.
« Stupeur et peur », indiquent Céline et Gilbert Renaudin, « effarés de nous trouver confrontés dans un hameau de plusieurs maisons à l’attaque des loups alors qu’on nous a maintes fois affirmé que les loups ne s’approchent pas des maisons, ne s’attaquent pas aux animaux en pleine santé, que les chiens et les lumières des spots des jardins les effrayent». La famille Renaudin frissonne à l’idée « des promenades des enfants sur les terres du dessus pour aller aux Ecuries de Céüze, chez les voisins, pour flâner dans le jardin et fermer les poules le soir ».
Le délégué de l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) a bien confirmé l’attaque de la meute au vu des traces et de l’état de la carcasse d’Aïchat, typiquement désossée par les dents des loups. « Vous êtes sur leur territoire de chasse », a-t-il confirmé.
«Cette attaque remet en cause notre style de vie à Sigoyer. Que faire face aux loups dont le comportement prend de l’assurance jusqu’à venir chez nous ? », s’interroge cette famille.
« À quand l’attaque de l’humain ? », est-il dit aux alentours, du col des Guérins à Manteyer. L’inquiétude est vive parmi les populations et chez les élus du massif de Céüze qui commencent « à trouver la situation de plus en plus difficile ».

Rassurez vous les écologistes ont trouvé la solution pour éviter les attaques " Faire du bruit et se montrer très grand représente les meilleurs moyens de les faire fuir." Les enfants n'iront plus fermer le poulailler!

mardi 5 mars 2013

PASTORALISME, pour en finir avec les contres vérités sur le LOUP


Pour faire face aux affirmations des écologistes « pro-loups » dans le « manifeste pour le loup », voici une réponse point par point, bien plus objective que la propagande discriminatoire et souvent en contradiction totale avec la législation Européenne, qu'ils étalent sans états d'âme
les textes en gras et soulignés sont copiés sur le manifeste

vendredi 1 mars 2013

LE LOUP AUTOUR DU HAUT DIOIS


Un inconditionnel du loup, Nicolas Ughetto, a enfin réussi à prendre en cliché le rêve de sa vie, de dire:
_"Je suis conscient que je viens de vivre un moment d’éternité d’une vingtaine de secondes et je ne suis pas prêt de l’oublier…".

Serait-ce le même loup qui a attaqué l’éleveur de BARRET de LIOURE, dans le Ventoux, et dont personne ne se soucie ? Quand un pro-loup photographie le loup, il n'y a aucun doute ; quand un élevage se fait attaquer, dans la même région, ce sont des chiens : aucun doute.
"Un éleveur à BARRET de LIOURE, a subi une attaque dans la nuit du 16 au 17/02 d'un bovin (broutard âgé de 7 mois) : plus 2 génisses disparues".

Et l’éleveur pourrait dire:
_ "je suis conscient que je viens de vivre un cauchemar pour la 3eme fois de ma vie, et je suis sûr que cela va se reproduire!"

Et le fanatique de reprendre:
"Je suis ce matin dans l’autre maternité du monde, le Mont Ventoux et je vais moi aussi essayer d’ouvrir grand les yeux."

La "maternité du monde", permet la reproduction d'un prédateur qui a massacré, en 2012, 5800 animaux domestiques et dont les écolos nous assurent que c'est "supportable et surtout négligeable". Aucun de ces irresponsables n'a la bienséance de demander leur avis aux éleveurs et bergers concernés.
N'importe quel être humain doté d'un minimum d'empathie,  n'oserait  pas proférer de tels propos face à la réalité. Les passions ne devraient pas aveugler, mais permettre effectivement d' "ouvrir les yeux".

L'agneau ci dessous traumatisé par  le carnage

La détresse de l’éleveur face a la réalité du terrain et aux discours des "pros loups"


Et ça continue:

maternité du monde" fantasmée par certains, Porte de l'enfer subie par d'autres




"Si l’attaque nocturne est passée inaperçue dans le petit hameau, le prédateur, lui, n’a pas raté son coup : cinq agneaux et une brebis ont été égorgés, et en partie dévorés. Quatre autres bêtes s’en sont sorties vivantes, mais sont dans un état pitoyable : patte cassée, œil ou oreille arraché… de quoi dégoûter l’éleveur : « Je vais être obligé de les euthanasier, cela fait plus de 24 heures qu’elles souffrent et c’est insoutenable. » Se tournant vers sa plus ancienne brebis, mourante, il livre : « Celle-là, je l’ai eu toute petite, et l’ai élevée au biberon ! Ça me fait tellement de peine », avoue Bernard Breysse, dont le “troupeau” ne se résume plus qu’à deux bêtes. Il se demande d’ailleurs s’il va poursuivre son activité.
« Sur certaines bêtes, les vertèbres cervicales ont été broyées, et les côtes sectionnées… je ne connais pas de chien capable de faire cela, et ça ressemble fort à ce que j’ai déjà vu dans le Vercors. »"


Attendons quand même le résultat des analyses par la DDT qui est en vacances, contrairement aux loups, aux éleveurs et aux animaux. Analyses qui, de toute manière, ne convaincront pas les "pro loup à n'importe quel prix"
http://www.ledauphine.com/drome/2013/02/26/une-dizaine-de-brebis-egorgees#jimage=9234E441-686D-4181-A8C8-8C83C0A955DD

voila c'est fait pour les brebis le résultat est là :Les résultats des analyses effectuées sur les cadavres de brebis confirment que l’attaque survenue il y a dix jours à Saint-Bardoux (Nord-Drôme) sur un troupeau de 10 bêtes, est bien l’œuvre d’un loup. La présence du prédateur dans la vallée est par la même occasion confirmée par la direction départementale du territoire.
 Pour le broutard, ça embarrasse tout le monde et malgré les photos des empreintes faites par la DDT + les analyses, toujours pas de résultat. Le poisson vas peut être se noyer!

lundi 18 février 2013

PASTORALISME, pour en finir avec les contres vérités sur le LOUP


Pour faire face aux affirmations des écologistes « pro-loups » dans le « manifeste pour le loup », voici une réponse point par point, bien plus objective que la propagande discriminatoire et souvent en contradiction totale avec la législation Européenne, qu'ils étalent sans états d'âme
les textes en gras et soulignés sont copiés sur le manifeste



Un simple carnivore ordinaire
qui n'a aucun prédateur et dont contre lequel personne n'a le droit de se défendre, sous prétexte qu'il est une entité vulnérable, ce qui est totalement faux si on prend le raisonnement de l'UICN MONDE
sur lequel s'appuient pourtant les pro-loups pour le défendre



Un prédateur dépendant des proies sauvages
Mais qui en 2012 pour 250 loups en France a tué 5 848*  brebis, veaux, vaches,  ânes, chiens, chevaux, poneys *selon le ministère de l'environnement. A noter que les animaux disparus ne font pas partis du décompte.

Une espèce sociale et territoriale Chaque meute défend un territoire contre les autres meutes. Si les effectifs dépassent un seuil dans une meute, des individus partent coloniser de nouveaux territoires. Ainsi le nombre local de loups n’augmente pas.
Donc ils vont envahir tous les territoires ou ils pourront se nourrir et surtout ceux où les proies domestiques sont plus faciles à attraper que le gibier sauvage!

Une répartition réduite à presque rien
Et pour cause, aucun citadin ou banlieusard ne supporterait de cohabiter avec un tel prédateur, donc laissons les ruraux se débrouiller avec vos fantasmes!



Non, le loup n’a pas été réintroduit en France !
Après 400 000 ans de présence et 60 ans d’absence, le loup est revenu en France de façon spontanée, par recolonisation naturelle de son ancienne aire de répartition.
Mais on peut avoir des doutes surtout si on lit ceci  ou : Mais depuis 1997, les analyses scientifiques l'ont prouvé : le loup est bel et bien revenu en Auvergne. Ainsi le 9 octobre de cette année-là, (1997) une automobiliste percute un spécimen sur la RN122, à hauteur du plan d'eau de Laveissière. L'animal avait été filmé l'été précédent par un vidéaste amateur. D'où venait-il ? Des Alpes lointaines ? A-t-il été réintroduit par un homme ? Le canidé était en tout cas d'origine italienne. 
et aussi :  On ne peut que s’étonner en relevant que le loup ibérique n’a pas (encore ?) réussi à coloniser les Pyrénées où les seuls loups présents, dans la partie orientale du massif, des deux côtés de la frontière, sont de souche italienne et viennent de l’Arc alpin pourtant ( énormément )plus éloigné.( pourvu qu'on ne les ai pas accompagnés)
(source Évaluation du protocole technique d'intervention sur les spécimens de loups dans le cadre du plan d'action national sur le loup)
mais encore

"Lorsqu’un loup est tué à Aspres-les-Corps (Hautes-Alpes) en novembre 1992, Gilbert Simon(directeur de la direction de la protection de la nature et des paysages), alors directeur de la DNP, explique qu’il provient probablement d’un lâcher clandestin, lors d’un entretien avec une journaliste de Libération :
ou bien "Il est pour le moins surprenant que le ministère de l’environnement ait officiellement recensé des lâchers clandestins de loups (et d’autres espèces), opérations par définition illégales, sans s’inquiéter outre mesure des auteurs et des conditions de ces pratiques illégales. Peut-être faut il y voir un signe de l’anormale proximité entre la toute jeune administration de l’environnement et les milieux associatifs écologistes dont elle est en partie issue." en savoir plus 





Un nouveau venu… présent depuis 400 000 ans
Mais nouveau venu pour les générations d'acteurs ruraux qui se sont installés en connaissance de cause, et qu'on oblige à remettre tout en question sans aucune concertation. Que diriez-vous, braves gens, si on vous imposait du jour au lendemain la présence, par exemple, d'un aéroport, sans aucune concertation, sous prétexte que c'est d'utilité publique!

Le problème auquel est confronté l’Empire c’est que tous ces gens qui se sont installés là bas pour soutenir la resistance ont de plus poussé l’outrecuidance à vivre autrement, mieux, de manière autogérée plutôt que selon la loi du marché et pourraient donner l’exemple à la population alors que le plan serait plutôt de se la jouer à la grecque." Dixit un écolo

bizarre, les écolos n'ont pas le même raisonnement pour les gens qui habitent a Notre dame des Landes que pour nous, qui sommes pourtant solidaires de leurs préoccupations!

Pourchassé jusqu’à disparaître dans les années 1930
Non pas pour le plaisir, mais pour rendre possible la vie rurale à une époque ou le « tout industriel » prenait le dessus. On peut dire merci a ceux qui ont lutté pour préserver ce mode de vie, qui, sait-on jamais, crise ou autre conflit oblige, pourrait se révéler tout à coup très apprécié par certains détracteurs.

Une réinstallation plus lente que nature
Facile de mettre la faute sur le braconnage, alors que l'on sait que pour tuer n'importe quel ongulé il faut être en possession d'un bracelet délivré par l'ONCFS, que le risque si on se fait prendre est « puni de 15 000€ d'amende et d'un an d'emprisonnement confiscation du fusil et annulation du permis de chasse », et que la plupart des bergers ne sont pas armés.

Oui, la prédation sur certains troupeaux domestiques est une réalité
Rien a dire !

… Mais la cohabitation avec le loup est possible
Cette année les 5 848*  brebis, veaux, vaches,  ânes, chiens, chevaux, poneys, sont issues d'élevages ayant mis en place les mesures de protections préconisées par l'état, sinon pas d'indemnités, donc pas de décompte!
*selon le ministère de l'environnement

c'est sans équivoque, voici le sigle des adorateurs du loup! Du sang de brebis ? innocence ou provoquation?, ou ....?


Le bétail tué par le loup est correctement indemnisé
Faux, l'indemnisation pour le moment ne tient pas compte du fait que les animaux en gestation subissent de nombreux avortements, jusqu' 40% dans certains cas. Ne tient pas compte du fait qu'introduire des brebis de remplacement au sein d'un troupeau pose d'énormes problèmes d'intégration. Ne tient pas compte du fait que l'éleveur se retrouve désemparé, voire extrêmement choqué et qu'il est donc beaucoup moins efficace dans son travail, qu'il est obligé de continuer coûte que coûte (pas de congé maladie pour dépression ou autre dans ce métier)

  Voir la réaction de la Mutualité Sociale Agricole:


Les brebis meurent surtout d’autres causes
Mais les brebis mortes et indemnisées par l'état sont bien mortes à cause du loup. L'éleveur n'a pas pour vocation de nourrir le loup, même s' il le fait indirectement ; car la plupart du gibier sauvage se nourrit presque exclusivement sur les pâtures ou dans les champs, bien plus riches en flore végétale que le sous-bois, surtout celui des résineux dont l'acidité stérilise le sol.

Les difficultés des éleveurs étaient présentes avant le retour du loup
Quelqu'un peut-il me citer un domaine qui se porte bien en France, hormis les associations écologiques qui ont vu, en Rhône alpes, leur budget de subventions augmenter de 13,5%, alors que toutes les autres subventions aux associations caritatives ou autres sont en baisse ?
Et pourquoi, si le secteur est en crise, lui rajouter des difficultés!



L’élevage ovin-viande en France, une filière en difficulté
Plutôt que de faire de la promotion pour le loup, pourquoi ne pas en faire pour l'agneau. Sachant que chaque agriculteur induit 7 emplois indirects, et que chaque jour on  comptabilise 1000 chômeurs de plus!

Mais le mouton résiste mieux dans l’arc alpin où le loup est installé
Dans le Poitou-Charente,(Viande ovine 13 % de la production nationale) comme faussement cité dans le manifeste, ou dans d'autres régions, les éleveurs, ayant le choix de se diriger vers d'autres activités plus lucratives, le font. Ce qui favorise, de par leur orientation différente, l'élevage de montagne qui ne peut être remplacé par rien d'autre et qui en produisant des agneaux de qualité tire son épingle du jeu, car l'offre d'agneaux labellisé, est inférieure à la demande. Seuls les élevages respectueux et de qualité subissent la prédation, et aucun écologistes ne s'en inquiète, aveuglé par une passion qui bien que légitime, devrait retrouver le sens des réalités!

Des aides importantes qui permettent le gardiennage des troupeaux

mais rien encore pour les élevage équins et bovins qui commencent a subir des attaques reconnues
En profitera t-on pour restaurer l'habitat précaire des bergers qui ne se prête absolument pas à la cohabitation? Surtout pour des apprentis bergers souvent peu expérimentés, munis des dernières techniques électroniques et qui se retrouvent désemparés sans réseau de communications! Cela engendre de toute façon un surcoût, qui, ajouté aux frais de protections et à la faiblesse des indemnités, finit par être intolérable. Comme est intolérable pour n'importe quel chef d'entreprise, de recevoir des conseils de personnes qui ne sont absolument pas impliquées et qui défendent juste leur point de vue de manière très orientée !

Quand bien même seraient éliminés tous les loups en France, ne serait
résolu aucun des problèmes de l’élevage et du pastoralisme.
Une espèce protégée ne peut pas servir de caution pour faire oublier
les difficultés de fond d’une filière agricole !
Toutes les professions ne sont pas concernées par les grands prédateurs. Mais au moins, ici, pour les écologistes, faire état des difficultés de la profession évite de parler du fond des problèmes liés aux prédateurs.

Quel secteur n'est pas en difficulté en France
Dans la nature tout ce qui est inadapté disparaît ou s'adapte. Les intégristes citadins peuvent logiquement admettre la disparition des bergers et des paysans français trouvant facilement dans leurs supermarchés préférés (construits sur les meilleures terres maraîchaires!) les victuailles à bon marché importées au grand dam de l'énergie grise gaspillée, victuailles produites à grands coups de pesticides par des esclaves de pays à bas coût... Peu importe on ne sait pas on ne voit pas.  en savoir plus

Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage
Voici ce que dit le code rural et de la pêche maritime au chapitre agriculture:Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.
En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, s'attache à :
notament article 8: 8° «  Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque ».
Alors qui décide, les partenaires Européens élus par le peuple ou une association d'écologistes irresponsables?

Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce
Les écolos affirmant que dans nos forêts montagneuses, composées presque exclusivement de résineux, la flore et la faune sont plus importantes que dans les alpages, sont des gens qui n'ont jamais mis les pieds dans cette forêt. La morille élevée pousse sous les résineux en particulier les pins sylvestres qui fournissent un terrain pratiquement dépourvu de végétation. Ensuite, quel est le berger qui va sur pâturer pour ne rien avoir l'année suivante ?
 Peut être un bobo écolo qui se lance dans l'élevage! 
 Certainement pas la bergère sur la photo qui conduit son troupeau sur un site natura 2000 

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.
A voir le nombre de contrats que proposent les collectivités territoriales, pour faire pâturer leurs domaines ET AUSSI NATURA 2000– aux fins de garder le paysage ouvert et de prévenir les incendies - ,
A voir aussi l'introduction (voir plus haut) du code rural pour le chapitre agriculture,
On se demande qui a faux! Et dernière minute, une déclaration de Didier Galop. Chargé de recherche au CNRS :  « la conservation de la biodiversité passe par des activités socio-économiques, comme l'agriculture et l'élevage ». 
ET AUSSI:  Désolé mais je ne peux pas toutes les mettre!

Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !
Et oui puisque les stations de ski, après avoir ensemencées et fertilisées avec de l'engrais les pistes, sont les plus grandes demandeuses de brebis tondeuses, pour les entretenir et éviter les avalanches!

"Dans les environs de l’Alpe d’Huez se trouvent les villages d’Auris-en-Oisans, d’Huez-en-Oisans, de La Garde, d’Oz-en-Oisans, de Vaujany, et de Villard Reculas. Ils sauront occuper les visiteurs après le ski grâce à la grande variété des activités qu’ils proposent : activités culturelles, sportives, ou de détente.
Ces villages ont gardé leurs traditions et pratiquent encore aujourd’hui la transhumance avec 370 vaches et plus de 2000 moutons qui pâturent les 10 000 hectares de la station et évitent par la même, l’amas d’herbes qui causent les avalanches."

Pour la partie chasse , je laisse le soins aux gens concernés de se défendre car je ne connais suffisamment pas le sujet!

Pour les conclusions:
S’il y a un problème de l’élevage ovin en France, le loup ne doit pas en être le bouc-émissaire
Aucun éleveur ne tient ce discours. Je dis bien aucun. Simplement il dit ne pas vouloir supporter cette catastrophe que représente le loup.

Si les éleveurs ont des difficultés à cause d’un contexte économique défavorable, aidons les éleveurs et n’instrumentalisons pas le loup
Que proposez-vous qui ne soit pas une contrainte supplémentaire que ne supporterait aucun corps de métier sans se mettre immédiatement en grève! Et dites nous quels sont les corps de métier qui n'ont pas de problème aujourd'hui. Ça ira plus vite que de citer ceux qui ont des problèmes!

Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité
Que proposez vous qui ne soit pas une contrainte supplémentaire pour des gens qui travaillent déjà plus de 270 heures par mois, sans RTT, ni congés payés, ni droit au chômage, le tout sans se plaindre et qui sont reconnus d'intérêt général pour la sauvegarde de la biodiversité par les élus Européens, des scientifiques, la plupart des habitants ruraux, des amoureux de la nature.....


Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal

NOUS, MAIS QUI NOUS , les gens concernés ? Ou les adorateurs d'un animal qui reste pour eux absolument abstraitQui doit décider de qui doit vivre là ou non! Doit-on dans nos campagnes décider de ne pas maintenir la population citadine car elle est source de destruction de la biodiversité????? pour ceux qui ont choisit d'y vivre, il n'y a pas d'endroits reculé ou difficile d’accès!

Il NE S'AGIT PAS DE DIRE NON AU LOUP, MAIS DE DIRE NON A LA DICTATURE DES ÉCOLOGISTES!!!

"quelle est la différence entre un extrémiste qui défend ses idées* parce "qu'il culpabilise de s'apercevoir qu'il ignore sa condition de vie dans son rapport réel avec les choses qui la fondent et qui ne s'aperçoit pas qu'en somme il n'existe pas", et un extrémiste qui défend "sa vie en contact étroit avec la nature et pour qui il n'est pas loisible de se contredire et de la** contredire, car il en mourrait"!

*complétement abstraites
** la nature
Gavino Ledda (padre padone II)

A voir une vidéo d'un débat entre deux scientifiques qui devrait mettre tout les gens honnêtes d'accord des deux côtés. J'ai dit HONNÊTES!!!

POUR MEMOIRE:
Dans le parc de Yellowstone, souvent cité par les pro-loups, dans lequel nous n’y trouvons ni ville ni village comme ils s'en trouvent dans nos montagnes et parcs français, le loup a été réintroduit pour, entre autre, diminuer la faune sauvage en pleine expansion, puisque les indiens natifs du pays, qui de part leur mode de vie reconnu pour la préservation de la nature et de la biodiversité, ayant été chassés de leur terres, ne faisaient plus office de régulateurs. Aux Étars-Unis, il a fallu dix ans de discussions  avant  d'opérer la réintroduction  du
Loup  dans  1e parc de Yellowstone  ( en france aucune concertation, seulement la dictature de la deep écologie). Le parc de Yellowstone donc, dont seulement 4 départements en France atteignent ou dépassent la superficie de 8983 km² , sans aucune activité agricole interne, se retrouve aujourd'hui confronté au problème qui consiste a empêcher les loups de sortir pour s'en prendre aux élevages limitrophes, à tel point que les états voisins ont autorisé les tirs de prélèvement au quota de 220 pour le Montana et illimité pour l' Idaho!
Nos écologistes, s'ils prenaient le pouvoir, rêvent d'un endroit similaire en France, dans lequel ils sont prêts à déplacer de force et sans aucune concertation les populations humaines. Mais la France n'a ni la superficie, ni le budget nécessaire pour une telle opération qui a coûté des millions de dollars aux USA..La France a certainement bien d'autre problèmes à régler, qu'a déplacer ses citoyens pour pouvoir bénéficier de la satisfaction du devoir accompli envers le loup, qui je le rappelle n'est absolument pas en voie de disparition, ni vulnérable.


Le résultat de la réintroduction du loup dans le parc de Yellostone


Les U.S.A. 17 fois la superficie de la France, Yellowstone, la superficie de la corse, mais je déconseille aux amis du loup de déplacer les Corses pour y mettre leurs idoles!
 Si on respecte le rapport superficie, budget, des 2 pays, notre parc devrait avoir une superficie de 528 km² soit le plus petit département de France, territoire de Belfort avec  quand même 143 000 personnes a déplacer! Mais cela ne suffira pas aux écolos qui, passez moi l'expression, "veulent vivre au dessus de leurs moyens" , a l'époque ou 1000 chômeurs de plus s'inscrivent tout les jours a l'A.N.P.E.

"cette fascination, ressentie par des gens civilisés et le plus souvent coupés de la nature dans leur vie propre, en proie aux contraintes sociales diverses et fantasmant naïvement sur ce faux symbole de la Liberté.
Faux symbole, car les études d’éthologie le montrent abondamment, dans la réalité cet animal est très lié à des rituels et hiérarchies rigides.
Mais surtout faux symbole car si le loup est emblématique, c’est surtout de l'injustice, que ce soit du temps d'Esope ou du nôtre, comme symbole du fascisme (le plus bel exemple est le mouvement d’extrème-droite turc « Les loups gris »...)."


"Les ranchers ont repris leurs fusils. Les loups du parc de Yellowstone, dans le nord-ouest des Etats-Unis, ont été retirés de la liste des espèces en voie de disparition. On peut désormais les chasser. Une victoire pour les éleveurs de bétail de la région, une décision scandaleuse pour les écologistes."

POUR MEMOIRE BIS:
« MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE, DE L’ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE
Arrêté du 27 mai 2009 modifiant l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d’extinction en France et dont l’aire de répartition excède le territoire d’un département
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire, le ministre de l’agriculture et de la pêche et la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie,
Vu le livre IV du code de l’environnement relatif à la faune et à la flore, et notamment ses articles L. 411-1, L. 411-2, R. 411-6 à R. 411-14 ;
Vu l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d’extinction en France et dont l’aire de répartition excède le territoire d’un département ;
Vu l’avis du Conseil national de la protection de la nature du 24 avril 2009,

Arrêtent :
Art. 1 A l’article 1er de l’arrêté du 9 juillet 1999 susvisé, les mots : « Loup » et « Canis lupus » sont supprimés
Art. 2. −Le directeur général de l’aménagement, du logement et de la nature et le directeur général des politiques agricole, agro-alimentaire et des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 27 mai 2009. »


Et cerise sur le gâteau, voici une des positions complètement irresponsable de la F.N.E.

Toutes les interventions sur le loup doivent respecter les trois dispositions obligatoires : ne pas porter atteinte à l’état de conservation de l’espèce, les dommages aux troupeaux doivent être importants et récurrents, et l'État doit s’assurer qu’il n’y a pas d’autres solutions satisfaisantes que celle d’intervenir sur l’individu

Importants: combien?
Récurrents: touts les jours?

Avec ce raisonnement, pas besoin d'abattre les loups incriminés, l’éleveur condamné a cesser son activité (il n'aura même pas le temps de remplacer les victimes entre deux attaques), donc plus de raison d'abattre le loup!

très rare, un écolo responsable?
réflexion d’un militant écologiste, homme de terrain , conseiller régional Vert, Vice président d’un parc naturel  (délégation à la biodiversité) en 1999.

« Sur la question de la bio-diversité, je m'interroge. En effet, si la présence du loup conduisait à stopper les transhumances dans la réserve, nous aurions un envahissement par les pins à crochets et une disparition de la pelouse d'altitude qui est aussi un réservoir de bio-diversité (idem plus bas pour les prairies de pente et donc leurs orées). Question aussi vis à vis des coqs de bruyères (dérangement et attaques pendant l'hiver).

Finalement les défenseurs acharnés du loup ne sont-ils pas en train de faire un choix emblématique parmi diverses configurations possibles de biodiversité ? »




mardi 12 février 2013

PARLONS UN PEU DU LOUP DANS LE HAUT DIOIS



Depuis quelques années, des attaques sur les troupeaux en alpage ont éveillés les soupçons des éleveurs, sans que la panique ne s'empare de la vie pastorale.
Mais depuis l'automne 2012, nous voilà en présence de nombreuses prédations sur les communes de Les Prés, Val Maravel, Charens, Valdrome, Boulc,

Au total + de 280 brebis, un poney, 1 chien patou de protection mort au combat, un veau,  2 chiens de chasse....


L'arrivée prochaine du printemps et la mise a l'herbe des brebis et de leurs agneaux, sont dorénavant deux épreuves, autrefois pleines de promesses, aujourd'hui redoutées par les éleveurs

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/01/presentation.html

L'ELEVEUR N'EST PAS CONTENT DE TOUCHER LA PRIME


Contrairement à ce que disent certains « pro-loups », l'éleveur n'est pas « très content de toucher
l'indemnité » par brebis attaquée et répertoriée.

En effet d'une part:

Il préfère garder sa brebis vivante, qu'il a sélectionnée avec amour et professionnalisme  afin qu'elle soit parfaitement intégrée au troupeau, au mode de vie de ce troupeau et à la région dans laquelle est élevé ce troupeau!

Ce n'est pas son rôle de nourrir le loup! Même s'il le fait indirectement, car la faune sauvage sensée être le garde manger du prédateur, se nourrit presque exclusivement dans les champs et pâturages des agriculteurs bien plus riches et appétissants que ce qui pousse dans les sous bois.

L'indemnité ne tient pas compte du désarroi et du stress qu'occasionne une attaque, tout en sachant que se qui se produit une fois peut très bien se reproduire dans le temps! (perte de temps pour regrouper les animaux, regrouper les cadavres, attendre et remplir le constat, abattage des blessés, mise a l’équarrissage des cadavres, réparation des clôtures endommagées.....) 

D'autre part:

Après une attaque sur des brebis en gestations, il faut savoir que 30 à 50 % des mères vont perdre leurs fœtus, et cela pris en compte par un forfait ridicule depuis le nouveau plan loup.

Si l'éleveur a perdu une petite quantité de reproducteurs, il aura intérêt à attendre l'année suivante et sélectionner lui-même dans ses naissances les agnelles de remplacement. Autant d'agneaux qui ne seront pas vendus et non pris en compte dans l'indemnité, car il est pratiquement impossible d'introduire une petite quantité d'animaux venant de l'extérieur dans un troupeau. En effet, les nouvelles venues seront rejetées, perçues comme des intruses et cela évite aussi les problèmes sanitaires (import de germes nouveaux dans un cheptel qui n'est pas immunisé) comme c'est arrivé à un éleveur de cervidés: ". En intégrant cette biche dans son troupeau, le propriétaire ne se doutait pas que la petite bête innocente allait être, quelques mois plus tard, à l’origine de l’extermination de son élevage".

Dans le cas de pertes importantes, il faudra se résoudre à introduire des animaux étrangers, qui ne seront pas forcement adaptés, ni génétiquement, ni socialement, avec tous les risques de transmission de maladies et d'intégration que cela induit. De plus l'éleveur perdra une grande part de la sélection génétique qu'il a favorisé pour son élevage tout au long de sa carrière! Et que dire de ceux qui subissent 10 attaques dans une année?

Dans tous les cas, il faudra attendre la production des futurs agneaux, plus d'une année en général, pour savoir si l'incorporation est réussie. Autant de manque à gagner, de travail supplémentaire qui n'est pas pris en compte.

Et dans toutes les situations, reste toujours la possibilité d'une nouvelle attaque


Il n'est pas si simple comme le disent les défenseurs du loup, d’être indemnisé, car le loup c'est:
 plus de travail, moins de rendement donc moins de recettes, plus de dépenses, beaucoup de stress aboutissant souvent à l'éclatement des familles ...... 

La chercheuse Jocelyne Porcher, qui fut éleveuse, écrit :«Les éleveurs ne peuvent pas laisser la "part du loup", comme le leur demandent les écologistes, car ils ont un devoir de protection envers leurs animaux qui exclut complètement de les abandonner aux prédateurs. Ce serait un déni profond du sens de leur métier.» Extrait de la part du loup



Voici ce qu'en pense nos amis Italiens, qui servent d'exemple pour les défenseurs du loup, comme étant un modèle de cohabitation:
 Dans les zones fréquentées par des meutes de loups, la situation est devenue intenable pour ceux qui développent des activités pastorales. Quel entrepreneur peut accepter d'être attaqué sur sa propriété de façon imprévisible et violente, sans avoir le moindre droit de se défendre ou de réagir ? Si un voleur ou un assassin entre dans mon magasin ou dans ma maison pour piller ou tuer, il a peut-être ses raisons, il a faim, mais moi si je peux est-ce que je ne vais pas essayer de l'arrêter ?
Pour le berger, son troupeau, sa richesse, n'est pas faite de choses ou de biens remboursables, mais d'animaux vivants qui partagent sa vie, qu'il connaît, qu'il a sélectionné depuis des générations et qui ont au moins le même droit naturel de vivre que celui des loups agresseurs.
De quel droit contre nature veut-on l'empêcher de réagir activement aux attaques ?
Aucun remboursement ne peut restituer les dommages subis, le stress imposé, la perte de sens de son propre travail. Ce n'est qu'en reconnaissant le rôle social du berger avec ses droits de pâturage et de protection active de ses bêtes qu'on pourra réduire le conflit entre les hommes des montagnes et les loups, mais certainement pas avec la politique adoptée jusqu'ici pour compenser en quelque sorte les dommages avec de l'argent : nous n'élevons pas pour nourrir les prédateurs !
Extrait de http://www.ruralpini.it/Commenti08.01.14-Alte-Terre-e-No-Europa.html 

Un article qui reflète la détresse et la souffrance niées par les défenseurs du loup. 

Les indemnisations accordées par les services de la DDT, ne concernent en effet que les animaux tués lors de l’attaque, il est donc très important pour l’éleveur de retrouver au plus tôt toutes les bêtes mutilées. Au-delà de ces lésions visibles, il y a d’autres dommages qui causeront encore d’autres victimes : sont condamnés en effet les agneaux même intacts qui ont perdu leur mère, et les brebis allaitantes privées de leurs petits, très vite menacées de mammites entraînant lésions et infections.

Les brebis gestantes qui avortent ou celles qui ne prennent pas selon la saison ou se produit les attaques sont indemnisées autour de  80 centimes d'euros. L'exploitant reçoit un forfait pour le stress du troupeau et du berger,  correspondant à 20% de la somme allouée pour les victimes.