BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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mardi 21 juillet 2015

LOUP, LA DISPARITION DE L'ELEVAGE A L'HERBE SE MET EN PLACE

Extrait du Communiqué de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
Paris, le 18 juillet 2015

"Par   ailleurs,   Ségolène   Royal   engage   une   démarche   auprès   de   la   Commission
européenne et de la Convention de Berne pour que les modes de gestion du loup
soient adaptés en fonction de l’importance de sa présence sur le terrain, comme en
Espagne où deux modes de gestion du loup existent."


Tout cela a été prévu dés 1997 par les instances qui s'occupent de réensauvager des millions d'hectares en Europe

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS


 à des fins financières:
LOUP, LA FACE CACHÉE DES DÉFENSEURS DE LA NATURE

Quelques extraits de 

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS, TOME II


« Page 20 - L’Etat devrait pouvoir affirmer clairement que la population de loups a vocation à s’étendre sur le territoire français, mais pas nécessairement dans toutes les zones. 4.2.4 Déterminer des zones différenciées de colonisation:
     -Des territoires confortés, adaptés et soutenus face à la présence de loups. Ces espaces pourraient correspondent aux massifs montagnards colonisés actuellement (Alpes du Nord et du Sud) et en colonisation prévisionnelle (Jura, Vosges, Pyrénées) ! Dans ces zones (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »
  • Des territoires inadaptés à sa présence: Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?, je vais vous en parler plus bas. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

Alors, vous commencez à comprendre pourquoi les biens pensants vous préconisent des mesures de protections aussi inefficaces les unes que les autres, ce n'est pas par hasard! Le petit élevage extensif est condamné au profit de l'élevage industriel et du tourisme de classe internationale.





dimanche 7 décembre 2014

LOUP, LA DÉMENCE S'EMPARE DE LA DICTATURE ECOLOGISTE

Voici ce que l'on peut lire dans une lettre adressée à notre ministre Mme Ségolène Royal:

Extraits "Entre guillemets en gris ou rouge"

 "l’existence d’une culture négative du loup profondément ancrée chez certains éleveurs",
" La surestimation du nombre de victimes du loup en raison des difficultés techniques a distinguer clairement les attaques de celui-ci de celles de chiens errants ou divagants."
                Alors que la majorité des éleveurs et bergers était pour la cohabitation, ils ont été tenu à l'écart du retour du loup par ses défenseurs , permettant de mettre en place la légende des chiens errants:
"alors qu'un loup a déjà été tué par erreur au cours d'une battue en 1987," les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d'attaques de chiens . L'administration se justifiera plus tard :" Nous avions pris la décision de ne pas officialiser cette présence de loups avant d'avoir définitivement écarté l'hypothèse qu'il s'agissait de chiens errants ensauvages" Donc pas de chiens errants à cette époque et pas plus maintenant, car tout le monde sait que le loup ne tolère pas de concurrence sur son territoire!"

" Il faut savoir que le nombre d’attaques de chiens (tous types confondus) sur les brebis a été estimé entre 200 000 et 500 000 par an, selon les études"
              500 000 attaques par an et nous n'avions pas besoin de mesures de protections. Personne, aucun éleveur ni berger ne s'est mobilisé pour la perte de plus d'un million d'animaux (1 attaque faisant souvent plusieurs victimes). Les troupeaux pouvaient se nourrir la nuit en alpage pendant les périodes de fortes chaleurs, sur nos terres et nos locations, sans chien de protection, ni clôture électrique!
             Selon les études qui ont été faites par Par BRUNSCHWIG G. (1), BROSSE-GENEVET E. (2), DUMONTIER A. (3), GARDE L. (4),  Pour un troupeau, La fréquence d'attaques de chiens est en moyenne de 0.20, soit une attaque tous les 5 ans. Le taux annuel de prédations s'établit en moyenne à 0.26%, soit 1 victime par an pour un troupeau de 400 têtes.Ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés et identifiés dans près de 89% des cas. Etudes qui corroborent les chiffres des études faites dans d'autres pays et notamment l'Angleterre ou il n'y a pas de loup!
Jusqu'à aujourd'hui, personne n'avait osé aller aussi loin! La démarche est claire, la propagande essaie de faire passer l'idéologie d'irresponsables qui n'ont jamais été confrontés à la prédation,ni jamais approché un mouton et encore moins un loup,  par la négation du travail d'expertises faites par des professionnels formés et expérimentés. En effet, mis à part l'année 2013 ( rejet de 30%), les autres années, on considère que les chiffres des rejets correspondent  aux chiffres des études sur la prédation par les chiens. Evidemment, comme toujours, aucune source relative aux "études" n'est citée

"L’impact psychologique des cadavres d'ovins mutilés.."


photo illustrant les propos de l'auteur (l'impact psychologique des cadavres) dans sa  lettre diffamatoire adressée à Mme Royal
               En effet, cette réalité doit elle être réservée aux enfants ruraux? qui eux ne sont pas confrontés aux images, mais à la réalité. Les enfants des écologistes, doivent ils  être épargnés? Feraient ils partis d'une catégorie de population  à part? avec tous les sous entendus que cela laisse supposer?  Doit on leur cacher la vérité? que va t'il se passer lors de la confrontation de cette génération entre ceux qui le vive et ceux qui ont été manipulés?

 "Par ailleurs, les deux derniers facteurs suscitent une impression de "pullulement" des loups qui ne concorde pourtant pas avec la réalité démographie et la distribution spatiale."

                 Encore une fois la négation du travail des experts et de la réalité, par des "spécialistes autoproclamés", alors que nous savons tous que les chiffres sont sous-estimés dans tous les pays, et que les instances européennes viennent de classer les hybrides protégés au même titre que le loup!

"De plus, les effectifs des population de loups n'explosent pas mais s'équilibrent en fonction de la disponibilité en proies ...."

                 Tant qu'il y aura du pastoralisme extensif respectueux et garant d'une biodiversité riche et abondante, les loups proliféreront et mettront en danger ce type d'élevage au profit du tout industriel! Les résultats d'une étude pour le retour des grands carnivores sont clairs: "Tout est dit page 103 : « des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion.Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/"
  »

"....et des pressions humaines."

                La contradiction idéologique et  la reconnaissance, MME LA MINISTRE,  que votre engagement est primordial pour la survie de la vie sociale dans nos ruralités!

voici un commentaire tiré de la Fédération des Acteurs Ruraux, qui illustre parfaitement cet article:
Consengin de merde imcapable de bouger de leurs ferme et de leurs village pour aller se reproduire . L'air des brebis cest fini tous le monde sen branle de vos petit elevage a la con qui dailleurs nest utile a personne sauf a vous biensur. Arreter vos propagande a la con tous et pretexte pour les tuer cest affolent ... Un loup en vos mille comme vous , pas besoin detre un défenseur de la nature pour sen rendre comte .

Revenons sur terre, à lire aussi: 

LOUP, LETTRE OUVERTE A MME LA MINISTRE SÉGOLÈNE ROYAL


A suivre, bientôt dans ce blog, l'attitude des associations subventionnées par l'Etat et dont le travail est la désinformation par la négation, le mensonge et la censure de la vérité!

vendredi 5 décembre 2014

LOUP, LETTRE OUVERTE A MME LA MINISTRE SÉGOLÈNE ROYAL

Collectif "Pour la sauvegarde du pastoralisme"
Ouragan et les Associations cosignataires ci dessous(bas de page), à :

Madame la Ministre de l’Ecologie,
 du Développement durable et de l’Energie
Hôtel de Roquelaure,
246 Boulevard Saint-Germain,
 75007 PARIS
Les Prés, le 20 Novembre 2014


Le groupement des associations environnementales pour la protection du loup sollicite votre bienveillance . C’est son droit.  Avant de prendre votre décision, nous souhaiterions remettre à leur place certaines des affirmations émises par Cap Loup.

Analysons les demandes, en italiques dans le texte, de Cap Loup:

"
La protection des troupeaux domestiques ne justifie pas les nombreux arrêtés publiés, visant non pas à limiter la prédation sur le cheptel, mais bel et bien à réduire la population de loups en France. Y compris au cœur même d’un Parc National !"

A notre connaissance, aucune autorisation de tir ou de prélèvement n'a été donnée à l'intérieur d'un parc national, dont nous rappelons ici un des constituants de la charte, signée avec les populations qui y vivent et qui participent à l'épanouissement des principes fondamentaux qui régissent ces parcs:

L’activité pastorale d’altitude dans les parcs nationaux est bien vivante, menée par des éleveurs locaux ou transhumants. Elle a fortement évolué, s’est modernisée. La conservation de bon nombre de milieux et d’espèces est liée au maintien et à l’ajustement des pratiques agricoles et pastorales. Les premiers partenaires des parcs nationaux sont les éleveurs et les bergers, les gestionnaires d’alpages ou d’estives, les services pastoraux, agricoles et administratifs.
Le pastoralisme contribue à la structuration écologique et paysagère des territoires, à la constitution du patrimoine naturel et culturel des parcs nationaux et à sa gestion. Ainsi, les paysages d’alpages et d’estives offrent une biodiversité et un caractère remarquable, résultat des interactions complexes et dynamiques entre activités pastorales et milieux naturels, que les parcs visent à préserver."
(cf. charte des parcs nationaux)

"Le mouvement associatif s’est organisé en conséquence, et 26 associations de protection de la nature et du droit animalier se sont regroupées au sein du collectif CAP Loup."

Parmi les associations constituant ce groupement, la plupart ne cachent pas la véritable motivation qui les anime :
    • "5000 victimes dont la moitié est due aux chiens !" cf. journal de Marianne 28 sept 2013
    • en  octobre 2014 à Gap au cours d’une table ronde : "[...] la prédation reste quelque chose de minime sur le plan économique" 
    • et sur France Bleu "Le problème c'est la non-protection des troupeaux...."

    • "Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages " (cf aspas, pour le loup, 14 juillet 2014)
    • "Le loup, est une opportunité écotouristique, plus de 2 millions de touristes dans le parc des abruzzes »" (cf. campagne pour la connaissance et la protection du loup)

    • Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
    • "Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage"
    • "Écologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons. Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour "entretenir" la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique." (cf.dépliant Loup, pour en finir avec les contrevérités sur le pastoralisme)

Comme vous pourrez le constater à travers ces affirmations, toutes ces associations  suggèrent de régler le problème du loup par la suppression du petit élevage traditionnel, et par la même, la disparition de la vie rurale respectueuse de son patrimoine, en pratiquant la désinformation, le mensonge, voire la diffamation.

  "[...] il peut être « chassé » dans 20 départements, et fait l’objet d’arrêtés de « tirs de prélèvement » réalisés à l’aide d’armes interdites en action de chasse, de jour comme de nuit, et même hors période de chasse." 
Comme prévu démocratiquement, le prélèvement des 24 puis éventuellement 36 loups doit se faire, si possible avec des armes sophistiquées, afin d’être sûr de réaliser un tir mortel, plutôt que de prendre le risque de blesser un animal.

"le sondage IFOP réalisé en septembre 2013 pour l’ASPAS et One Voice qui montre que 79% des Français sont favorables à sa présence dans notre pays, y compris les ruraux."
En réalité la question était :"  "Vous  personnellement, êtes-vous tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout favorable à l’éradication totale du loup en France "… question à laquelle de nombreux bergers, éleveurs et moi-même, ont répondu par "pas du tout favorable".
Je vous propose de refaire le sondage en posant la véritable question :
 "Etes-vous pour le maintien d'une population de loup sur l'ensemble du territoire, sachant que chaque citoyen, en âge légal de le faire, devra participer à son épanouissement en offrant une heure quotidienne de travail bénévole, y compris les jours fériés et les weekends,  le loup n'étant pas assujetti au code du travail !"

"Malgré cette forte demande des Français, malgré le caractère encore fragile de l’espèce dans notre pays, et malgré l’intérêt de la présence du loup pour des secteurs économiques clefs en zone rurale que sont le tourisme et la sylviculture, vous avez décidé de faire chasser le loup".

Madame la Ministre, nous pensons tous, nous petits  éleveurs et bergers, que les Français, en particulier les citadins, doivent être véritablement informés sur la réalité des prédations lupines qui  conduisent  inexorablement à la disparition du pastoralisme traditionnel, garant depuis la nuit des temps de la protection de la biodiversité et de la nature qui nous accueille depuis des générations. Nous pensons tous que les Français seraient attachés à conserver le patrimoine intact, sans le déferlement d'un tourisme de masse, comme s'en félicitent certainement à tort, l'ensemble des associations.


Madame la Ministre, nous avons choisi de vivre et de faire vivre la ruralité dans le respect, la durabilité, en proposant des produits de qualité et en officiant, comme vous pourrez le constater en venant nous visiter dans la Drôme, par exemple, dans un cadre qui reste à de rares exceptions près, préservé, exceptionnel, ouvert et partagé.

Madame la ministre, nous ne voulons pas du loup car nous avons appris, en étant les seuls à participer à la cohabitation, que cette cohabitation est impossible. Il y aura toujours une faille, un défaut, un empêchement, une panne, un accident... qui feront que le loup trouve aujourd'hui et trouvera demain, la possibilité de s'en prendre à nos animaux. Le vécu dans les autres pays atteints de ce fléau nous montre qu’après les ovins, ce seront les bovins, les équins, les chiens.... . Car le loup une fois installé, doit impérativement trouver, les quatre à cinq kilos de viande qui sont nécessaires quotidiennement à son épanouissement.

Madame la ministre, faire croire que le loup fera venir des millions de touristes, comme le soutiennent à tort, les défenseurs du loup pour le parc des Abruzzes, est une hérésie. En effet, dans les Abruzzes, la quasi totalité des visiteurs sont des randonneurs, vététistes, joggeurs...ou plus simplement, des familles qui viennent s'y ressourcer indépendamment du loup, mais plus du fait de la proximité des métropoles. De même, nous pensons qu'il faut un équilibre en toutes choses, et par respect pour cette nature que nous avons su préserver pour les générations futures, des millions de visiteurs seraient néfastes pour la faune et pour la flore.
Actuellement, le pastoralisme est un vecteur important d'un tourisme familial et respectueux, comme vous pourrez le voir dans toutes les brochures des offices de tourisme, faisant vivre les autochtones qui ne veulent pas de structures industrielles pouvant  accueillir ces  millions  de touristes, si chers aux défenseurs du loup !

Madame la ministre, l'ensemble de la profession et des acteurs ruraux vous remercie de la position difficile que vous avez su prendre pour le maintien de la vie rurale. Laisser le loup s'installer durablement sur nos terres serait forcément la condamnation de l'agriculture familiale,  mise à l'honneur en cette année 2014, par les NATIONS UNIES.

Veuillez agréer Mme la Ministre de l'écologie, l’expression de notre reconnaissance ainsi que nos salutations respectueuses.


Cosignataires:
Association Éleveurs et Bergers du Vercors, Mme Annette Jouvent, secrétaire, 38680 Presles
Association Solidarité Pastorale, Jean Louis Fleury, 26460, Les Tonils
Fédération des Acteurs Ruraux, M. Christophe Gabert, 38850, Chirens
Association Le Cercle, Jean Claude Robert, 48150, Hures la Parade
Association, Éleveurs et Montagnes, Yves Louis Derbez, 04000, Dignes Les Bains
Association, Encore Éleveurs Demain, 55300 Troyon
Association pour l'Equilibre et le Développement du Massif Vosgien, Jean Marc Delcroix, 68610 Markstein
Association des Bergères et Bergers de Provence et des Alpes du Sud, Mathieu Erny, 04110 Aubenas-les-Alpes
Association des Amis de l'Aigoual,du Bougès et du Lozère, Gilda de Cumond, 48220, Le Pont de Monvert
Association Le Loup et les Indignés de l'Ubaye, Pierre Martin-Charpenel 04400 Barcelonnette
Association des Patres de Haute Montagne, Laurie Sixset, 09000 Loubières