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Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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mercredi 16 décembre 2015

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS suite


Plus de mille bergers furieux protestant contre la limitation du nombre de chiens qui gardent les troupeaux, ont pénétré dans le bâtiment du parlement roumain.

Plus de quatre mille bergers sont arrivés dans la capitale roumaine Bucarest pour prendre part à la manifestation. Selon la chaîne de télévision ABC News, certains d'entre eux sont venus des régions reculées du pays.

"Nous ne pouvons pas vivre sans nos chiens qui protègent les moutons contre les animaux sauvages. Nous voulons qu'on nous rende nos droits", a annoncé Traian Nica, berger roumain de 49 ans"
Les manifestants sont mécontents de la loi récemment adoptée qui interdit de faire pâturer le bétail de décembre à mars et limite le nombre de chiens gardant les troupeaux. Ainsi, selon les nouvelles règles, les bergers ont le droit de n'avoir qu'un chien par terrain et trois dans la montagne.
Les défenseurs de cette nouveauté croient que cette loi protégera les gibiers des chasseurs, à savoir les sangliers et les cerfs qui sont souvent attaqués par les chiens.

Près de 4 000 bergers roumains en colère contre une loi limitant le nombre de chiens qu’ils sont autorisés à détenir ont pris d’assaut le Parlement mardi 15 décembre, exigeant l’abrogation de ce texte, a constaté une journaliste de l’AFP.

« Nous ne pouvons pas garder les moutons avec seulement un ou deux chiens pour toute une bergerie, comme le prévoit la loi. Si un loup vient la nuit, il peut tuer plusieurs moutons et provoquer des dommages importants », a déclaré à l’AFP l’un des éleveurs, Dumitru Dima. « Ils veulent aussi nous infliger des amendes si on laisse les moutons dans les pâturages après le 6 décembre. Qu’est-ce qu’on peut faire ? On n’a pas assez d’argent pour les fourrages », s’est-il insurgé.

Et chez nous? Vouloir soigner le mal par le mal, jusqu’à quand cela tiendra t'il? 
  • Certaines communes refusent de louer leur alpage à des bergers qui possèdent des chiens de protection.
  • Les associations fondamentalistes ne veulent rien savoir quand à la difficulté d'avoir des chiens de protection dans les zones fréquentées par les troupeaux, les loups et les touristes; autrement dit, la totalité des zones d'élevage dans notre pays. De la à faire un parallèle avec la condamnation sans appel du pastoralisme qu'elles prônent sans état d’âme il n'y a qu'un pas à franchir. Un pas qui se fera en temps voulu par les ensauvageurs!
  • Déjà des associations de randonneurs se crées pour protester contre les chiens de protections qui les empêchent "d'utiliser leurs terrains de jeu". Les marcheurs s'indignent d’être la cible de chiens livrés à eux même. Mais cherchent ils à savoir que dés que ces chiens se ruent vers ce qu’ils croient etre une menace, ils partagent le troupeau en le traversant, affolant les animaux, obligeant le berger à intervenir pour éviter une trop grande dispersion. Laissant de fait courir les patous et autre bergers d'Anatolie qui ont vite fait de disparaître du champ de vision de celui qui doit maintenant en priorité regrouper les brebis.
  • Oui les chiens chassent par atavisme la faune sauvage protégée ou non;  oui de par leur nombre important (plus de 2000 dans les alpes) ils participent au développement des maladies comme le tournis dont les hottes intermédiaires sont les herbivores dont le mouton qui infesteront les loups lorsqu'il les mangent, les loups qui infesteront à leur tour....

                                                           ....l'ensemble des herbivores sauvages et domestiques;  oui les chiens deviennent dangereux et ingérables après quelques affrontements sérieux avec les loups;  oui les chiens dérangent les brebis en leur imposant des jeux qui leur sont propre, perturbant leur quiétude en les affolants et les dispersants  à chaque fausse alerte;  oui les chiens deviennent un incontournable problème lorsque les brebis passent l'hiver à la bergerie, perdant la motivation en étant privé de la liberté dons ils ont besoin;  oui, oui, oui..... mais qui s'en soucie? pas ceux qui nous les imposent en tous cas!


L'ensemble de "ceux qui savent" que les chiens sont la solution, "savent ils" que soigner le mal par le mal ne mènera nulle part? On peut se le demander et en conclure que les deux possibilités sont envisageables!

La réduction du pâturage, une solution déjà préconisée par "le nouveau plan de 2015 pour la conservation du loup en Italie" : "une surveillance (avec des chiens qui posent les mêmes problèmes que chez nous ndlr) et/ou la restriction du pâturage en semi-liberté en particuliers dans les alpages!"

Petit à petit la finalité se précise:  Les promoteurs Européens pour la préservation des grands carnivores sont en train d'apprendre, je cite: " Nous essayons maintenant de trouver un moyen de coexister avec eux, même si personne ne sait à quoi cette coexistence va ressembler à la fin." (à noter que ce sont les éleveurs traditionnels qui essayent, et eux seuls, dans l'abandon de l'ensemble de ceux qui défendent cette cohabitation sans jamais y participer)

Dans tout les pays ou les loups sont en liberté dans les zones d'élevage la sentence tombe:
 "« Dans les zones ou évolueront les grands prédateurs, sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage,... , afin que le pastoralisme ne perturbe pas les carnivores. /…/ » 





mercredi 6 mars 2013

TÉMOIGNAGES

Les mesures de protections, inefficaces et coûteuses

Un de ses chiens patous, un grand "montagne des Pyrénées" blanc, porte les marques d'un combat, une blessure profonde à la patte. L'éleveur s'est entouré de ces gardiens depuis plusieurs saisons. Cet été, il en a sept auprès de lui, plus cinq chiots qu'il a commencé à dresser au contact de tout jeunes agneaux pour les préparer à devenir l'un des leurs. Il s'est aussi doté d'un parc mobile, pour rassembler les moutons la nuit et faciliter la tâche de ses chiens. Une logistique lourde : les filets et les sacs de croquettes pour les patous ont été acheminés par hélicoptère. Le parc de nuit doit être régulièrement déplacé pour éviter le surpâturage.


Malgré ces mesures de protection financées par l'Etat dans le cadre du plan d'action national sur le loup, d'année en année, le prédateur, protégé par la convention de Berne (1979), s'adapte et déjoue la vigilance des éleveurs. "Je ne sais plus ce qu'il faut faire. Cette année, c'est pire que tout, les loups attaquent le jour. Il y a quelque temps, je discutais avec quatre personnes à côté de la cabane. A 80 mètres, le loup s'est jeté sur une brebis. C'est lui qui nous surveille", poursuit Bernard Bruno.

ou encore

"J'ai 490 hectares avec des creux et des vallons. J'ai quatre chiens patous. J'en aurais 50, cela ne changerait rien car le terrain est tellement accidenté qu'il leur est impossible de surveiller tout le troupeau."
En savoir plus sur l'article publié dans le "Monde Planète" du 01/09/2012


mais surtout voici ce que dit Michel Olivier qui ce dit représenter l’association Férus a propos des mesures de protections :
" Elle a ses limites. La brebis restera toujours la proie la plus facile, même avec des chiens Patous »,


Voila des bergers qui mettent en place les mesures de protection et qui se remettent en question, qui ont subi des attaques traumatisantes. Mais rien n'y fait, comme d'habitude, les commentaires des écologistes, copier coller sur le monde planète, transpirent la haine et la désinformation:

Ploukistanais 
Encore une logique rurale surprenante... et sa version pour journalistes urbains! Merci pour le paragraphe : "Ces disparitions ne sont pas seulement imputables au loup. Elles font parfois sourire dans la vallée, où l'on soupçonne certains éleveurs d'écouler une partie de leur production sous le manteau." Chaque brebis peut donc être subventionnée à fond par l'UE, tuée par le méchant loup, indemnisée et revendue contre du liquide?....



Ce sont peut être les bêtes disparues, mais qui n'apparaissent dans aucun bilan officiel,  doublant pourtant les  pertes reconnues indemnisables, selon la directive du 27 Juillet 2011, qui  serait la "production sous le manteau" dont parle  Ploukistanais.
Les vautours des Pyrénées se sont subitement mis à manger des vaches adultes vivantes, suite à une interdiction européenne de leur laisser les carcasses incomestibles par l'homme (vache folle, etc).


Et quand on sait que le directeur d'une association environnementale  à laquelle adhèrent certainement ces braves écolos, gagne, je cite : "Cette aisance financière avait conduit certains dirigeants à s'accorder des rémunérations qui feraient rêver…/… En 2000, …/… 650.000 francs pour le directeur d'une association savoyarde. Et cette rémunération n'avait fait l'objet d'aucune remarque de la part du service instructeur, alors que notre subvention représentait 44% du fonctionnement." extrait de
     Le combat est une fête 
Roselyne Bachelot - Ed. Robert Laffont
270 pages - essai (broché). Paru en novembre 2006
ISBN : 2221103122 

J'aimerais savoir combien gagne le directeur national. Quelle belle leçon sur la production sous le manteau , ces bêtes que personne ne retrouve, à part les charognards et les vautours !



Frank Amoretti 
Quant on voit sur les photos du Monde ces prairies couleur jaune -paille à 2000 mètres d'altitude censées nourrir les brebis, on voit pas très bien l'utilité de la transhumance, toute son organisation technique et ses couts directs: il y a un petit jeu entre le Parc national ( des fonctionnaires de l'environnement ), l'Office National de la Chasse, la chambre d'agriculture du 06 (qui n'est plus un département agricole) et les syndicats d'éleveurs qui n'est pas très clair, comme on dit à Syracuse




C'est drôle mais la transhumance se fait depuis bien avant le retour du loup. Gentils écolos qui savent diriger un troupeau et nous donnent des conseils sur le métier.La transhumance aurait donc été pratiquée pendant + de 6000 ans par erreur? Conseils qui aboutiront à conduire les animaux vers des élevages industriels où ils ne verront plus que la lumière des néons et où une seule espèce fera pour la viande ovine, caprine, bovine, chevaline etc etc...


Et Ploukistanais de continuer
 .....Comment font les Espagnols, Italiens, Roumains?


Francois F.
Et en Italie, 10 fois plus de loups? Troupeaux fictifs? Pas d'indemnisations? Un reportage vite!

Et même sur mon blog:
es abruzzes , plus petit que le vercors plus de pastoralisme, une centaine de loups et quasiment pas de problème.... cherchez l' erreur!


Quand on sait tout cela, et ce qui est ci-dessous:

pour l’Italie c'est ici:

De 600 a 1000 loups selon le comptage officiel, 2000 loups selon la population, quantité retenue par les écolos qui jonglent avec les chiffres : pour une fois ils font confiance à ceux qui subissent ! Pour la France c'est le chiffre officiel qu'ils retiennent (à peine 200). Cherchez l'erreur !

Français et Italiens contestent les chiffres concernant les populations de loups. « Les méthodes de comptage basées sur les cris et les traces dans la neige ne sont pas fiables, insiste le chercheur Michel Corti. En Italie, les estimations officielles sont comprises entre 600 et 1.000 têtes, alors que nous estimons qu'il y en a plus de 2.000. »publié dans la" France agricole"du 21 06 2012


PAS DE PROBLEME AVEC LE LOUP EN ITALIE?

http://www.eleveursetmontagnes.org/actualite/13-actualite/424-loup--les-eleveurs-francais-et-italiens-font-face-a-lunisson


L'expert italien dit:" il faut contrôler la population, la chasse est tolérable"

fédération des acteurs ruraux, italie

Nos témoignages se ressemblent étrangement


http://www.ferus.fr/actualite/hecatombe-dans-les-abruzzes-12-loups-tues-en-2-mois
Depuis le début de l’année, 12 loups ont été retrouvés morts dans le Parc national des Abruzzes, dont la plupart du fait de l’homme :
- 3 loups tués par arme à feu, ce qui démontre que des actes de braconnage existent bel et bien au cœur même du parc national,
- 2 confirmations au moins d’empoisonnement au Carbamate.
Pour les autres, il y a de fortes présomptions d’empoisonnement 
mais puisque tout vas bien en Italie, pourquoi en vouloir au gentil loup? Impossible de savoir combien il en meurt tellement ça arrive souvent: http://gaianews.it/ambiente/lupo-morto-nel-parco-nazionale-dabruzzo-si-teme-evvelenamento-47402.html#.UnldjXAz3D7

Suite aux attaques de loups, cet éleveur après avoir passé 47 années en alpages, a vendu la totalité de son troupeau de 230 bêtes...




pour l’Espagne c'est là:


PAS DE PROBLEME AVEC LE LOUP EN ESPAGNE?


voici un extrait de l'article écrit dans le journal La Nueva España – Oriente.a propos du plan loup Francais
"Tout comme en Espagne, et très concrètement dans la corniche cantabrique, les attaques de loup au bétail sont un des principaux problèmes auxquels l’élevage français est confronté.

certains mois il ne se passe une journée sans un article relatant une attaque!

C'est bizarre: puisque il n'y a pas de problème


http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/Europe/Espagne/Cantabriques/Picos-de-Europa/Declaracion-del-grupo-Con-Lobos-No-Hay-Paraiso-Traduction-Francais.pdf


pourquoi leur en vouloir, puisqu'ils ne posent aucun soucis


ATTAQUES DE LOUPS DANS LE NORD DE LA PROVINCE DE GUADALAJARA POUR LE SECTEUR DE 

L’ELEVAGELA « TERREUR » DE TOUT PERDRE

Depuis des années les attaques se répètent dans ce qui pourrait sembler un film d’horreur. Mais ce 
n’en est pas un : les attaques de loups sont une constante dans la montagne Nord de la province de 

Guadalajara, avec de nouveaux épisodes ces derniers jours. Les éleveurs se plaignent que 

l’Administration ne prenne pas en charge le problème « une fois pour toutes. »

« Les loups attaquent sans arrêt », explique l’Association Provinciale des Agriculteurs et Éleveurs de la

Province de Guadalajara (APAG). Dernier épisode : fin de semaine dernière, deux nouvelles incursions de loups dans la montagne Nord de la Province. Résultat : deux veaux morts, l’un de deux mois, l’autre d’un peu plus d’un mois. Et l’APAG explique : « de nouveau c’est un éleveur de Galve de Sorbe et on en est déjà à une dizaine d’attaques dans le mois ; sans compter les veaux disparus qui ne sont pas signalés. »


féderation des acteurs ruraux espagne

et aussi

Pour la Roumanie j'ai ça:

film promotionel pour le Sarplaninac, que vont croiser les touristes dans les alpages 


ET POUR L'ENSEMBLE DES PAYS CONCERNES

cet extrait de: Stratégie de prédation chez le Loup
                                                      par André Guyard

Toutefois, nos bergers français sont loin d'être isolés. Partout où le Loup a recolonisé des territoires désertés (le nord de l'Italie, la France, la Suisse, la Norvège), la cohabitation est difficile et le rejet unanime. Dans les régions où le Loup a toujours été présent (sud de l'Italie et Espagne), les pertes sont moins lourdes, les éleveurs plus conciliants. Et pour cause : la trilogie "berger-chien de protection-enclos pour la nuit" existe toujours. On trouve ainsi de nombreux enclos en pierre qui protègent les troupeaux la nuit, et la main-d'œuvre moins chère favorise la présence d'un aide-berger à proximité permanente du troupeau. Autre différence : dans les Abruzzes, l'élevage ovin est principalement destiné à la production de lait. Ces petits troupeaux sont regroupés chaque soir pour la traite dans un endroit protégé. Enfin, en Italie et en Espagne, le loup ne jouit pas d'une protection totale. "Les autorités tolèrent, voire autorisent les éleveurs à braconner l'animal, précise Laurent Garde, chercheur au Centre d'études et de réalisations pastorales Alpes Méditerranée. Faisons pareil en France et les éleveurs supporteront mieux la situation." Ce qui peut aussi dissuader les loups de s'approcher. Une demande partagée par nombre de bergers français."


Comme c'est bizarre, puisqu'il n'y a que chez nous que ça pose problème

             On en déduit que chez les pros loup, ceux qui écrivent les commentaires, sont endoctrinés par ceux qui écrivent les articles pour la promotion du loup, en priorité pour drainer les subventions d'un état déficitaire, dont le principal souci est de garder la minorité des électeurs qui font pencher la balance de leur côté.  

             Aucun d'entre eux ne maîtrise quoique ce soit! Ils sont animés par une passion, qui bien que légitime, ne doit pas rendre aveugle, au point de dresser les populations les unes contre les autres! 

             Le loup ne peut pas être l'idole qui efface les erreurs humaines, dont la responsabilité incombe à nos civilisations,  et dont les écologistes intégristes ne peuvent pas se targuer d'être les élus choisis pour les corriger, au mépris des populations qui vivent de et en accord avec, cette nature!